Marco Albeiro est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en innovation sociale et développement des territoires (ISDéT), Marco Alberio est sociologue, professeur au département Sociétés, territoires et Développement à l’Université du Québec à Rimouski. Ses travaux se situent à la croisée de la sociologie économique et de la sociologie territoriale. Il s’intéresse à la cohésion sociale, aux phénomènes d’exclusion et aux inégalités, à l’échelle nationale et territoriale. Ses travaux font surtout appel aux méthodes d'analyse qualitative, souvent en partenariat avec le milieu.

Marie-Luc Arpin est diplômée de l’université McGill en génie mécanique et détentrice d’une maîtrise en développement durable appliquée de l’UQAC. Elle a pratiqué l’ingénierie pendant quatre années avant d’entreprendre en 2012 une thèse de doctorat sur le rapport paradoxal de l’ingénieur à l’entreprise à l’École des sciences de la gestion (ESG) de l’UQAM. Marie-Luc est membre du Centre international de référence sur le cycle de vie des produits, procédés et services (CIRAIG) de Polytechnique Montréal, ainsi que du Centre Organisations, Sociétés, Environnement (OSE) de l’ESG-UQAM. Le projet de recherche de Marie-Luc est soutenu financièrement par le programme de Bourses d’études supérieures du Canada Vanier.

Serge Belley, aujourd’hui retraité, Serge Belley a été professeur régulier à l’École nationale d’administration publique (ENAP) de 1994 à 2017. Il y a enseigné l’administration municipale, l’analyse des politiques publiques locales et régionales et la méthodologie de la recherche. En plus d’avoir dirigé plusieurs étudiant-e-s à la maîtrise et au doctorat, il a publié plusieurs travaux et participe encore à différents projets de recherche dans ces domaines. Il poursuit aujourd’hui sa collaboration avec l’ENAP à titre de professeur associé.

Audrey Bernard s’intéresse aux pratiques d’empowerment et aux approches participatives dans le cadre de son projet de maîtrise, en plus d’avoir à son actif des expériences au sein d’organisations mettant en œuvre des pratiques dites « par et pour » et visant l’empowerment individuel et collectif.

Clint Bruce est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et transnationales (CRÉAcT) à l’Université Sainte-Anne, où il est également professeur au Département des sciences humaines et codirecteur de la revue Port Acadie. Son programme de recherche étudie l’évolution de la diaspora acadienne dans le contexte de la francophonie internationale. Originaire de Louisiane, Clint détient un doctorat en études francophones de l’Université Brown. Son édition bilingue de poésies engagées du XIXe siècle, Afro-Creole Poetry in French from Louisiana’s Radical Civil War-Era Newspapers, paraîtra en 2018 aux presses de la Historic New Orleans Collection.

Jacques Caillouette est professeur titulaire à l’École de travail social de l’Université de Sherbrooke. Outre ses enseignements sur l’organisation communautaire et les mouvements sociaux, ses travaux de recherche portent sur la méthodologie de la recherche partenariale, le développement des communautés, l’interculturalité et la construction politique et inclusive des territoires. Comme membre régulier du Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES), il est responsable notamment des travaux de l’axe Politiques et pratiques sociales

Linamar Campos-Flores poursuit ses études de doctorat en géographie à l’Université de Montréal. Ses intérêts de recherche sont multi et transdisciplinaires: (im)migration, frontières et émotions; l’Amérique latine; la problématique du rural au Canada et les liens de ces sujets avec la mondialisation et le néolibéralisme. Elle co-coordonne le réseau “Migrations in Rural and Remote Areas (MIRRA) du partenariat Rural Policy Learning Commons (RPLC) et est membre du CA de l’Association pour la Défense des Droits du Personnel Domestique (ADDPD).

Hélène Carbonneau détient un doctorat en gérontologie de l’Université de Sherbrooke et est professeure au Département d’études en loisir, culture et tourisme de l’UQTR. Ses intérêts de recherche portent sur le rôle de l’expérience de loisir inclusive pour la santé et le développement positif. Elle est co-directrice du Laboratoire en loisir et vie communautaire et responsable de l’axe Interaction et soutien social du RQRV. Son plus récent article est : Carbonneau, H. et al. (2015). Quebec’s Recreation Intervention Model in Healthcare and Social Services and its implications for the National Council for Therapeutic Recreation Certification (NRTRC)’s Standards. World leisure Journal, Special issue.

Julie Castonguay est travailleuse sociale et candidate au doctorat en gérontologie à l’Université de Sherbrooke. Elle détient une maîtrise en service social et un baccalauréat en psychologie obtenus tous deux à l’Université Laval. Sa thèse porte sur les freins et les leviers à l’engagement bénévole des premiers-nés du bébé-boum dans les organismes communautaires en soutien à domicile des aînés. Elle travaille au Centre d’excellence sur le vieillissement de Québec (CEVQ) en tant que professionnelle de recherche. Son plus récent article est : Castonguay, J., Beaulieu, M., & Sévigny, A. (2016). Bébé-boumeurs bénévoles? Les freins et les leviers de leur engagement. Retraite et Société (71), 127-146.

Johanne Charbonneau, Ph. D. en science politique, est professeure titulaire au Centre Urbanisation Culture Société de l’INRS. Titulaire de la Chaire de recherche sur les aspects sociaux du don de sang, elle a amorcé sa carrière par des travaux sur la circulation du don dans la famille et le don d’organes. Au cours des décennies, ses travaux ont porté sur les parcours de vie, les réseaux sociaux, les solidarités familiales, la vie de quartier et les immigrants. Elle a publié récemment: J. Charbonneau et A. Smith (dir.) (2016) Giving Blood. The institutional making of altruism, N.Y. Routledge. Elle dirige la revue Lien social et Politiques depuis 2010.

Guy Chiason est professeur de sciences politiques et développement régional à l’Université du Québec en Outaouais (UQO). Ces intérêts de recherche portent sur la gouvernance des territoires, autant en milieux ruraux qu’en milieux urbains et ses projets récents ont portés principalement sur la contribution des municipalités à la gouvernance des ressources naturelles ainsi que la planification du développement.

Geneviève Demers est étudiante en formation à distance à la Téluq de l’université du Québec et elle est assistante de recherche à l’ARUC sur la gestion des âges et des temps sociaux (www.teluq.uquebec.ca/aruc-gats ). Elle a fait des recherches sur les MOOC (cours en ligne ouverts à tous) et réalise actuellement un essai sur les communautés de pratique, dans le cadre de son programme de 2e cycle à la Téluq.

Michel Desjardins enseigne au département de psychologie de l’Université de la Saskatchewan. Ses travaux explorent les problématiques du handicap et de l’altérité selon les perspectives de l’herméneutique critique, de la sémiotique de la culture et des théories de l’esthétique. Ses recherches ont porté notamment sur les nouvelles formes d’exclusion qu’ont générées les sociétés démocratiques, sur la sexualité et la reproduction des personnes classées déficientes intellectuelles, sur les conflits entre la justice et le bien et sur la contribution des figures, des marges, des récits et des ruses à l’adaptation des personnes en situation de handicap à leur condition sociale et à leurs incapacités.

Chantal Doré est titulaire d’un doctorat en sociologie, professeure à l’École des sciences infirmières de l’Université de Sherbrooke, co-responsable de l’axe Développement des communautés à l’Institut universitaire de 1re ligne de santé et services sociaux du CIUSSS de l’Estrie - CHUS et membre du comité de rédaction de la revue Recherches féministes. Ses activités d’enseignement et de recherche se concentrent principalement autour des domaines d’intérêt suivants : interventions de proximité en santé et services sociaux et développement des communautés; déterminants sociaux de la santé; dimensions culturelle et éthique du soin; interculturalité et pratiques de médiation.

Sophie Dupéré est professeure agrégée à la faculté des sciences infirmières de L’Université Laval. Membre du Centre de recherche sur les inégalités sociales et les discriminations (CRÉMIS), ses projets de recherche gravitent autour des thèmes de la pauvreté, du genre et des inégalités sociales de santé. Elle a également développé une expertise en lien avec des démarches de recherches participatives et de recherches fondées sur les croisements de savoirs. Elle est une des membres fondatrices des midis-RAP.

Jean-Marc Fontan est professeur au département de sociologie de l’Université du Québec à Montréal et membre du Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES, http://crises.uqam.ca). Il dirige la Chaire de recherche UQAM en méthodologie et épistémologie de la recherche partenariale (http://chairerp.uqam.ca/) et codirige le volet CRSH du Laboratoire montréalais de recherche sur la philanthropie canadienne (https://philab.uqam.ca). Il est responsable de la collection Innovation sociale aux Presses de l’Université du Québec.

Julie Fortier détient un doctorat en Études urbaines de l’UQAM. Depuis 2006, elle est professeure au Département d’études en loisir, culture et tourisme de l’UQTR. Ses intérêts de recherche touchent le bénévolat, la concertation, la participation publique et citoyenne. Elle est codirectrice du Laboratoire en loisir et vie communautaire effectuant des recherches sur ces questions. Depuis 2001, elle a participé à plus de 10 recherches sur le bénévolat, dont : Le mouvement bénévole au Québec (2005-2007), Bénévolats nouveaux; approches nouvelles (2009-2011), Le bénévolat en loisir; 10 ans après (2011-2014), Les liens intergénérationnels et l’échange des savoirs dans la pratique de l’action bénévole (2013-2016).

Mireille Fortier est professionnelle de recherche au CEVQ et coordonnatrice de l’Institut sur le vieillissement et la participation sociale des aînés de l’Université Laval. Elle détient une maîtrise en anthropologie et un certificat en gérontologie. Ses intérêts de recherche portent sur la recherche participative, la participation sociale des aînés, l’organisation des services de santé au Québec, le bénévolat en soins palliatifs et l’anthropologie des vieillissements. Sa plus récente publication est : Sévigny, A., Tourigny, A., Fortier, M., et al. (2016). Habitats, milieux de vie et participation sociale des aînés : Constats et perspectives. Synthèse de la région de la Capitale-Nationale. Québec : IVPSA.

Lucie Fradet, doctorante en santé communautaire à l’Université Laval, Lucie Fradet a contribué à quelques expériences de recherche-action participative notamment avec la méthode photovoix. Son sujet de thèse porte sur une meilleure compréhension de la participation à la recherche-action participative. Avant de compléter un baccalauréat en psychologie, elle a œuvré une vingtaine d’années en arts multidisciplinaires en tant que codirectrice artistique et administrative d’un groupe d’artistes de la scène.

Lorraine Gaudreau, professeure en travail social, UQAR, campus de Lévis. Spécialisée en intervention collective. Membre fondatrice du Collectif de recherche participative sur la pauvreté en milieu rural.

Lucie Gélineau est professeure au département de psychosociologie et de travail social de l’Université du Québec à Rimouski (Campus de Lévis).

Didri Houssine professeur et directeur de l’unité de programme en éducation et pédagogie et du DESS en gestion de l'éducation, cumule plus de 25 ans d’expérience dans le domaine de la formation-accompagnement auprès de différentes catégories de professionnels. Avant de rejoindre l’UQAM, il a agi comme formateur, responsable de stages, consultant auprès de différentes institutions et comme conseiller pédagogique, conseiller académique et responsable de programmes à l’Université de Montréal. Il a mené et a collaboré à des projets de recherche, supervisé ou dirigé des travaux d'études ayant trait à l’administration de l’éducation, à la mobilisation et au transfert des connaissances, à la recherche partenariale participative, à la conception de formation technopédagogique, à l'évaluation de programmes.

Liliana Kremer, docteur en études agronomiques avec orientation en anthropologie, est médiatrice et professeure titulaire de la Chaire d'Éducation et Travail Social; directrice du programme de recherche de la Faculté des sciences sociales de l'Université nationale de Córdoba (Argentine); membre du conseil d'administration de Réseau Chaco Trinational (Argentine, Bolivie, Paraguay); coordonnatrice du Comité du Collège des Femmes du Chaco Américain et consultante des organisations sociales de la région du Chaco sur les questions de genre, de territoires et de développement durable.

Nathalie Lafranchise est professeure au département de communication sociale et publique l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Elle est aussi, depuis 2014, professeure invitée à la faculté d’économie de l’Université Grenoble-Alpes, dans le cadre du master II Ressources Humaines, Organisation et conduite du changement. Spécialisée en accompagnement et développement des compétences, elle détient un doctorat en éducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières et une maîtrise en communication (profil psychosociologie) de UQAM.

Sylvain Lefèvre est professeur à l'Ecole des sciences de la gestion (ESG) de l'UQAM et directeur de l’axe de recherche « L’universitaire et la transformation sociale » du Centre Organisations, Sociétés, Environnement (OSE) de l’ESG-UQAM. Il est diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Rennes (2002) et a obtenu un Diplôme d’Etude Approfondie en Science Politique (mention Sociologie Politique Comparée) à l’Université Lille 2 et à l’Institut d’Etudes Politiques de Lille (2003). Il a soutenu en 2008 une thèse de doctorat de Science Politique à l’Université Lille 2 : « Mobiliser les gens, mobiliser l’argent : les ONG au prisme du modèle entrepreneurial » (sous la direction du Professeur Frédéric Sawicki).

Philippe Lyet est responsable du centre de recherche de l’Etsup, l’école supérieure de travail social à Paris et directeur adjoint du Groupement d’Intérêt Scientifique Hybrida-IS, Métiers en actes, actes de métiers et professionnalisation. Il conduit des recherches sur les coopérations dans le travail social dans le champ de la sociologie et des sciences de l’éducation, en collaboration avec des représentants des acteurs concernés par ces travaux. Il a, de ce fait, produit plusieurs écrits sur ce qu’il appelle les recherches conjointes multiréférentielles. Il a coordonné le collectif des chercheurs ignorants qui a dirigé le livre Les recherches-actions collaboratives, une révolution de la connaissance (Presses de l’Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique, Rennes, France).

Yvette Molina est sociologue, responsable de formation/chercheuse à l’Institut de Formation sociale des Yvelines, membre associée au Centre Maurice Halbwachs (CNRS-ENS-EHESS). Ses travaux de recherche portent sur le champ du travail social et notamment ses processus de professionnalisation à l’articulation de la formation et des organisations de travail prenant en compte les évolutions liées à la Nouvelle Gestion Publique. La dimension internationale est étudiée dans ses travaux et ses publications. Elle a notamment co dirigé trois ouvrages dont deux aux Presses de l’Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique – Rennes, « Travail social sans frontières : innovation et adaptation », « Le travail social et ses formations à l’épreuve des territoires » et l’un aux éditions Suisses IES (Genève) « Dynamiques du travail social en pays francophones ».

Geneviève Olivier-d’Avignon coordonne et anime des processus de recherche à visée participative en santé communautaire depuis 2011 et participe aux Midis-RAP depuis 2012.

Liliane Portelance est professeure titulaire en psychopédagogie au Département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières, chercheure au Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE) et membre d’un groupe international de recherche sur l’apprentissage en alternance. Ses recherches portent principalement sur la collaboration en éducation, la formation des stagiaires et de leurs formateurs et l’insertion professionnelle en enseignement.

Emilie Raymond est professeure à l’École de service social de l’Université Laval et chercheure au Centre interdisciplinaire de recherche en réadaptation et intégration sociale. Elle s’intéresse à la participation sociale et citoyenne, et explore l’intersection des discours publics et des expériences des acteurs. Ses travaux l’ont amenée à comparer les politiques du vieillissement et les pratiques d’aînés ayant des incapacités. Elle utilise des approches participatives de recherche, collaborant avec des milieux associatifs désireux de devenir plus inclusifs à l’égard des personnes en situation de handicap. Elle a coédité l’ouvrage Droits de vieillir et citoyenneté des aînés. Pour une perspective internationale (2015).

Claire de Saint Martin est maître de conférences en Sciences de l’éducation au laboratoire EMA de l’Université de Cergy-Pontoise. Ses travaux portent sur la scolarisation des élèves en situation de handicap, l’inclusion, le partenariat entre institutions. Elle s’inscrit dans le cadre de la socio-clinique institutionnelle et est l’une des créatrices du réseau international francophone interdisciplinaire RechercheAvec qui réunit des chercheurs en sciences humaines et sociales réfléchissant sur les questions posées par ce type de recherche. Elle mène actuellement un programme de recherche sur « la pratique théâtrale, vectrice de l’éducation inclusive ? »

Andrée Sévigny détient un doctorat en service social de l’Université Laval. Elle est professeure associée à l’École de service social de l’Université Laval et chercheure au Centre d’excellence sur le vieillissement de Québec. Ses travaux portent sur la participation des bénévoles au soutien à domicile des aînés en perte d’autonomie ou en fin de vie. Elle est chercheure principale du partenariat en développement sur la participation sociale des aînés (PASSAGE). Elle est première auteure de l’article suivant : Sévigny, A., Frappier, A., Abgrall, V., & Caron, G. (2015). Parcours de bénévolat en soins palliatifs : Diversités et similarités. Les cahiers francophones de soins palliatifs, 15(2) : 52-67.

Guy Sioui Durand, Wendat (Huron), Guy Sioui Durand est sociologue (PH.D.), théoricien, commissaire indépendant, critique d’art et conférencier-performeur. Son regard sur l’art autochtone et l’art actuel met l’accent sur le ré-ensauvagement de nos imaginaires et le renouvellement des relations. Il a publié L’art comme alternative. Réseaux et pratiques d’art parallèle au Québec (1997) et l’Esprit des Objets (2013). Il enseigne à l’institution Kiuna, seule institution postsecondaire entièrement autochtone.

André Tourigny est médecin spécialiste en santé publique et médecine préventive à l’Institut national de santé publique du Québec, co-directeur de l’Institut sur le vieillissement et la participation sociale des aînés de l’Université Laval, professeur agrégé à la Faculté de médecine de l’Université Laval et chercheur au CEVQ. Il possède une expertise touchant le vieillissement en santé, l’organisation des services de santé et l’évaluation de programme ou d’interventions ciblant les personnes aînées. Tourigny, A. et al. (2015). L’un de ses plus récents articles est : Preventive home visits for older people, a systematic review. Canadian Journal on Aging, 34(4), 506-523.

Diane-Gabrielle Tremblay est professeure à l’École des sciences administratives de la Téluq de l’Université du Québec, titulaire de la Chaire de recherche sur les enjeux socio-organisationnels de l’économie du savoir (2002-2016), et directrice de l’ARUC sur la gestion des âges et des temps sociaux (www.teluq.uquebec.ca/aruc-gats ), une équipe qui réalise des recherches en partenariat avec les milieux de travail. Elle mène des recherches sur l’organisation du travail, le télétravail, la conciliation travail-famille et le stress dans divers milieux de travail, dont l’hôtellerie, la restauration, l’éducation, le droit, et la santé.

Pierre-André Tremblay (Ph.D. anthropologie, Université Laval) enseigne l’anthropologie et la sociologie à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) depuis 1987. Ses recherches ont porté sur les mouvements sociaux, le développement local, les organismes communautaires, l’économie sociale et la lutte à la pauvreté. Ses travaux les plus récents portent sur la recherche partenariale, la réflexivité dans le développement local et l’itinérance dans la région du Saguenay-Lac Saint-Jean (Québec).

Michèle Vatz Laaroussi est professeure retraitée et associée à l’école de travail social de l’Université de Sherbrooke. Elle est aussi présidente de l’ARIC (association internationale de recherche interculturelle). Ses travaux portent sur l’intervention, les médiations et les dialogues interculturels avec un accent particulier sur les rapports entre les nord et les sud. Elle s’intéresse aux femmes immigrantes et stigmatisées et mène depuis 2016 un projet de recherche action médiation femmes et féminismes en dialogue, avec une équipe internationale dont plusieurs des auteures de l’article. Elle est l’auteure de plusieurs ouvrages portant sur les parcours migratoires et a coordonné entre autres l’ouvrage : « Dynamiques familiales, socio-juridiques et citoyennes dans la migration. Regards entrelacés « Nord Sud » sur les réseaux transnationaux » (L’Harmattan, 2016) avec les co-auteures Campos, Doré, Kremer et Yanes Canal.

Carlos Yáñez Canal est professeur à l'Université nationale de Colombie. Auteur de nombreux articles, livres, recherches, conférences et communications en Colombie et dans plusieurs pays d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Amérique latine, il a également été professeur invité dans des universités en Italie, aux États-Unis et en Argentine.